Je savais pas trop ou classer ces articles, c'est surtout des notes ou des bidouilles en vracs
L'interface d'Autocad
Autocad est un logiciel ancien (1982). La 1ere fois que je l'ai vu tourner,
c'était sur un 80/86 sous DOS. C'est aussi la première
fois que je voyais une souris. J'ai souvenir que les commandes étaient
lancées au clavier ou avec la tablette à digitalisé
qui était associée à la "souris". Ça
ressemblait à ça
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ps...
si vous voullez retrouver un look viellot, tappez à la ligne de commande fermerruban, (setvar "menubar" 0) et (setvar "SCREENMENU" 1)
La classe non?
J'ai suivi une formation sur la version 14 d'Autocad, la première version il me semble à être intégré à windows avec une souris normale. Les barres d'outils on fait leur apparition pour remplacer la tablette.
Depuis la 2009, on à vu apparaitre le "ruban". Qui
est une mise en conformité de l'environnement avec l'environnement
"Vista" et les rubans apparus dans les interfaces d'Office
depuis la 2007.
Première constatation, malgré toutes ces évolutions,
une seule chose est restée quasi inchangée: La ligne de
Commande.
Ce n'est pas un hasard. En fait c'est la seule partie de l'interface
qui est rigoureusement indispensable. C'est là qu'on peu rentrer
toutes les commandes, suivre leur évolution, voir si on doit
ou si on peu rentrer un paramètre ou une option. Quand on débute
sur Autocad, il faut toujours avoir un œil dessus, avec l'habitude,
on sait plus ou moins quand la surveiller de près mais elle reste
indispensable.
Voila un exemple de tracé de polyligne tout au long du quel des
paramètres ont été passé par la ligne de
commande.
Le ruban c'est une autre histoire…
Personnellement, je le trouve anti productif. Pour accéder à
une commande, il faut cliquer beaucoup plus qu'avec tout autre dispositif.
Je le trouve beaucoup trop encombrant, bref … Quand je dois me
personnaliser une interface sur des postes ou il est présent
je commence par le fermer, remettre les menus et les barres d'outils.
A la ligne de commande, je tape:
FERMERRUBAN
MENUBAR 1
Les traceurs à carrousel
Ha lala, il est loin le temps ou on regardait les dessins se faire tracer quasiment dans l'ordre ou on avait réalisé les lignes. Il y avait quelque chose de fascinant à voir la feuille monter et descendre pour passer devant le feutre. Hypnotisé que j'étais comme un papillon de vant un feu de cheminée. Il n'y avait pas encore de jet d'encre, un feutre ou une plume tapotait le surface au rythme des pointillés.
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Ces plumes étaient stockées dans on carrousel, ou un barillet. Quand Autocad en avait fini avec une couleur, ou une épaisseur de trait, le chariot retournait vers le barillet pour changer de plume.
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Voila d'ou viens que les fichiers .ctb sont appelés les fichiers
de plumes et pourquoi on peu changer la couleur ou l'épaisseur
dans ce fichier. En effet, chaque couleur sur Autocad était associée
à un numéro dans le barillet et donc une épaisseur
et une couleur de feutre. (Photo trouvées sur le bon coin).
Notepad++ REGEX
Notepad++ est un éditeur de texte avec un vrai plus... parmis
les plus interéssants je note ici des manips utilisants les "expression
régulières" de la fonction "Chercher/Remplacer"
à la syntaxe étrange... un
tuto ou 2
voire un site
complet car c'est vraiment exotique comme concept pouvez aussi chercher
REGEX sur le net.
On notera qu'en mode "rechercher" on peu décrire un motif entre
les parantèses qui sera rappelé en mode "remplacer"
par le \1 (ou \2 ect... si vous deffinissez plusieurs motifs)
je vas décortiqué le premier, matez dans les tuto ou
j'ai piqué les autres pour les comprendre.
ajouter "untruc" en début de ligne
Chercher ^(.) remplacer par untruc \1
On cherche tous les caractères (c'est la signification
du ".") qui suivent le début de la ligne (symbolisé
par le "^") et comme le points est entre paranthèse,
on mémorise cette sélection.
on remplace notre recherche par "untruc" plus les caractères
mis entre parantèse pendant la recherche (appelés par
\1)....
super intuitif comme language non?
Garder que 2 chiffres significatifs dans un tableau de points
chercher ([0-9]+[.,][0-9][0-9])[0-9]+ remplacez
\1
j'étais contant quand je l'ai trouvé celle la ...
Repérer des balises dans une page en chemeuleu
(les h4 dans mon cas)
chercher et marquer (<h4).*+
on peu ensuite copier ces lignes dans Recherche/Signet/Copier les lignes
marquées
inserer "untruc" en fin de ligne
chercher (.)$ remplacer \1
untruc
Google est notre ami... ayéz confience... Non je ne polémiquerai
pas sur les lignes en tout petit dans les conditions d'utilisationd
des services...
Je note juste quelques syntaxes dans l'utilisation de la recherche que
j'ai tiré de cette
page PDF au passage le blog gain-de-temps.com
est bien sympatique et contient pas mal de réflection sur "le
référencement et le reste"...
Syntaxe:
l'espace entre 2 mots équivaut à un ET
entre gillemets "une expression exacte" ordre des mots et
photes d'orthographe comprises.
le signe - sans espace retire des résultats un mot exemple chercher
voiture -location -vente purge pas mal d'annoces commerciales
(mais google veille sur ses liens sponsorisés)
Mots clef
Pour chercher dans un site: à la fin de votre recherche ajouter
site:adresse du site puis faire un ctrl F et cherchez
le mot dans la page affichée pour tomber dessus. Par exemple,
cherchez "untruc" site:joch04.free.fr vous
tombez sur le lien vers cette page il faudra ouvrir le lien et faire
une recherche dans la page (avec ctrl F) pour afficher untruc
directement
Subdivision surface
Dans ce tp j'utilise le modificateur Subdivision surface de Blender et je parle d'empiler deux de ces modificateurs. Attention toute fois, si vous avez lu le manuel en ligne sur ce modificateur, vous avez noté que sa progression n'est pas géométrique, mais exposentienne ( c'es pas X.n mais X n). Donc si on enpile une subdivision coèf 6, mèffie sur le coèf du 2eme un simple coèf de 2 fait qu'au global on est déja à un coèf de 36. Deux subdivisions à 6 passe un coèf global de 6^6=46656 ça fera exploser la consomation mémoire...
Car cdr
Pour exploter une liste en Lisp on ne dispose fondamentalement que de 2 fonctions: (car et (cdr.
Si on enchaire et combine ces fonctions on arrivera au bout de notre liste. Soit une liste X
(car X) renvoie le 1er élément
(car (cdr X))
renvoir le 2eme élément
(car (cdr (cdr X))) renvoie le 3eme élement ...
Avec des liste de liste, c'est encore plus pénible soit X qui cette fois est une liste de sous liste X= ((X1) (X2) (X3) ..) ou Xn est lui même une liste
(car (car X)) renvoie le 1er element de X1
(car (cdr (car X))) renvoie le 2eme élement de X1 ....
Vous l'avez compris c'est super lourd.
Pour simplifier la notation il existe des fonctions pas forcément présente dans le guide de ref:
De la liste complète que j'ai chopé ici (en bas de page) je retiens les plus interessants
Raccourci | équivalence | signification |
(car x) | 1er élément de la liste X pour un point | |
(cadr x) | (car (cdr x)) | 2eme élement de la liste Y pour un point |
(caddr x) | (car (cdr (cdr x))) | le 3eme élement de la liste Z pour un point |
(cddr x) | (cdr (cdr x)) | la liste moins les 2 1er éléments |
(cdddr x) | (cdr (cdr (cdr x))) | la liste moins ses 3 premiers éléments |
(cddddr x) | (cdr (cdr (cdr (cdr x)))) | la liste moins ses 4 premiers éléments |
(cadar x) | (car (cdr (car x))) | le 2eme élément de la 1ere sous liste |
(caadr x) | (car (car (cdr x))) | le 1er élément de la 2eme sous liste |
(cadadr x) | (car (cdr (car (cdr x)))) | le 2eme élément de la 2eme sous lsite |
(cddar x) | (cdr (cdr (car x))) | la 1ere sous liste moins ses 2 premiers éléments |
(cdadr x) | (cdr (car (cdr x))) | la 2eme sous liste moins son 1er élément |
Cas particulier d'une ''moustache'' en sortie de colonne montante
Le lisp Vsom impose une JONCTION à chaque fin de polyligne, mais aussi une JONCTION à chaque arrivée sur la branche principale. Pour modéliser le cas d'une colonne montante qui se séparerai en deux par un T directement, il faut tricher un peut |
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Il faut en effet rajouter une JONCTION en bout de réseau pour les règles de construction soit respectées. | ![]() |