Un peu de méthode
Pour ne pas se prendre les pieds dans le tapis, il faut être
bien organisé. On peu le perdre du vue, mais on est payé
pour sortir des plans, et tout le temps passé à galérer
est du taux horaire qui ne sert à rien. En ces temps de rentabilité
absolue, être organisé fait parti du boulot... Et puis
franchement c'est aussi de la paresse pure.
Etre organisé, permet d'en faire plus en en faisant moins.
Je ne vais pas tout détailler, mais simplement donner des pistes.
Unités
Dans Autocad, l'utilisation des unités est complètement libre... On peut travailler dans les unités que l'on veut sans se soucier de rien. Mais il est tout de même important de savoir ce qu'on fait et comment ça marche, car quand on utilise des fichiers qui viennent d'une autre source, si c'est mal paramètré on a des résultats inattendus. Prenons le cas du dessin d'architecture où l'unité usuelle est le mètre. Quand on dessine un cercle de rayon 1, cela représentera donc un cercle de un mètre. Il suffit de le savoir, on pourrait se passer de tout réglage, pourtant, dans le menu Format/ Unité de dessin, on doit régler les unités comme ça.
Le truc c'est que quand on veux importer des objets depuis un dessin de charpente métallique, 1 représente un millimètres Si ce réglage d'unité (cette fois en millimètre) n'est pas fait dans le dessin du métallier, Autocad ne sait pas qu'il doit appliquer un coefficient d'échelle de 1 pour 1000, quand il passe des éléments d'un dessin à l'autre. |
Template, fichier bible calques et objets ...
Pour ne pas réinventer la roue chaque fois qu'on commence un dessin, il est bon de se faire un template, et un fichier bible. Le template est un fichier gabarit qui contient un minimum d'informations vitales comme deux ou trois calques de base, une présentation et qui bien sûr, est déjà réglé dans les unités qu'on utilise. Quand on fait un nouveau fichier, il est créé à partir de cette empreinte et est donc pré-réglé suivant ces éléments. Pour créer le gabarit, il suffit de faire un fichier vide, de le "purger" pour être sûr qu'il n'y a plus rien, de créer ou d'importer les éléments qu'on veux avoir par défaut et de le sauver comme un template. |
Le fichier bible
c'est un fichier dans lequel on fourre tous les éléments
dont on a besoin. Je préfère les mettre dans un fichier à
part pour ne pas surcharger le template. Pour exemple, voici mon fichier
bible... il s'appelle objets JOC.dwg . Il y a toutes les légendes dont je me sers, des hachures, mes
objets usuels, les calques, les types de lignes, bref tout mon bazar... Généralement, c'est en ouvrant ce dessin que je démarre Autocad. |
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Pour importer les objets dans son dessin de travail on passe par le desing center, il y a un onglet "dessin ouvert" ce qui permet de ne pas avoir à fouiller dans toute l'arborescence pour retrouver ses petits (d'ou l'interet de démarrer Autocad avec ce dessin) Dans cet exemple, le dessin actif est Dessin1 dans le "desing center" je vais chercher des calques et je les ajoute avec un clic droit (pour ouvrir le desing center il faut retenir le raccourci "Ctrl 2" le 2 au dessus du z) |
Les objets ou blocs...
Dés qu'on a un truc qui se répète plus de deux fois,
Il faut faire un objet... pour cela il faut utiliser la commande BLOC.
Il y à une autre solution, on sélectionne les éléments,
"Shift Ctrl C" qui est le raccourci pour "copier avec
point de base" et "Shift Ctrl V" qui est le raccourci
pour "coller en tant que bloc". Le point de base choisi, sera la poignée du bloc créé
Coller en tant que Bloc génère
un nom aléatoire... c'est plus rapide, mais pas très élégant.
Si vous avez une version complète d'Autocad, on peut utiliser le lisp RENB pour renommer un bloc, et INSEDIT pour changer le point d'insertion (la poignée)
Pour insérer un bloc ou passe par "Insérer/Bloc"
ou par le desing center. Le calque est alors insérer dans le calque courant.
Comportement des Blocs
Les blocs sont des ensembles d'éléments liés, avec un "Point de base" ou point d'insertion, là ou se trouve la poignée. Comme n'importe quel élément, il appartient à un calque, celui actif au moment de son insertion mais les éléments qui le composent appartiennent également à un calque. Les blocs dont les éléments font partie du calque 0 ont le même comportement que le calque dans le quel ils sont insérés. C'est le cas général...
A noter la différence entre (1) désactiver (2) geler. Au passage rajoutez les commandes "isoler le calque", "geler le calque" (3) à la barre des calques (voir comment faire pour) | ![]() |
par exemple, si tu fait des meubles que tu mets dans un calque 'mobilier' et si tu désactive ce calque le bloc disparaît.
maintenant, si dans ton bloc de table (dont tous les éléments sont en 0) tu rajoute des assiettes dans un calque 'vaisselle'
quand tu vas désactiver 'mobilier' les assiettes reste visible, et pour les faire disparaître il faudra désactiver aussi le calque 'vaisselle' ou geler le calque 'mobilier'. Cet exemple et bidon mais c'est parfois utile d'avoir un bloc qui a plusieurs niveaux d'affichage.
Un clic droit ou un double clic sur un bloc donne accès à l'éditeur de bloc ou on peu revenir sur les éléments et leurs propriété. On remarquera que dans cet éditeur, le point 0,0,0 correspond au point de base (la poignée) du bloc.
L'épaisseur "DUBLOC" et la couleur "DUBLOC" permettent de définir une couleur et une épaisseur indépendante du calque d'insertion.
Un autre truc à savoir sur les objets. C'est que c'est la seule façon d'appliquer une échelle sur un seul axe pour étirer ou écraser un objet en changeant ses propriétés.
Dans la collection de lisp il y en a deux qui apportent des fonctions
"oubliées" par Autodesk
RENB qui va permettre de renommer un bloc, et, EDITBLOC qui permet de
changer par exemple toutes les entités de tous les blocs du
dessin en "Claque 0" et épaisseur DUCALQUE pratique
quand on passe derrière un plan pas propre...
On peu enregistrer les blocs comme des .dwg indépendants du dessin on parle alors de Wbloc c'est du reste la commande à appeler quand on veux en créer un.
Les Xref
En bureau d'étude, on travaille à partir de plan architecte.
Dans ma boite il y a plusieurs corps de métiers, ELEC, PLB, CLIM,
VRD. Il faut que tout le monde utilise les même fond de plan.
Ajoutez à ça le fait que les archi passent leur temps
à faire des "modifs de dernière minute"... Comment
faire pour être sur que tout le monde est syncro.
La solution
c'est les Xref
Les Xref sont un peu comme les Wblocs, ils dépendent de fichiers externes, mais servent de fond de plan communs pour les collaborateurs.
Il y a quelques précautions à prendre.
-Une bonne habitude est d'archiver les plans archi et de créer
un répertoire Xref en y mettant une copie
-S'assurer que tout le monde à ses unités réglées
correctement suivant ses unités de travail.
-Il faut parfois nettoyer le plan surtout s'il vient d'archicad
(voir purgeArchicad dans les lisp)
-Créer un calque -XrefArchi pour y mettre ses Xref, ça
permet de les geler.
Les Xref ne sont pas copiées dans le dessin elle sont simplement
appelées et affichées. Pour ce faire, Autocad mémorise
le chemin dans le répertoire ou est sauvée la référence.
Heureusement il y a un moyen de la recharger Dans le menu "Insertion/Gestionnaire
de référence externe" En (1), on à la liste des références et leur statut,
il est probable que celle que vous voulez recharger soit ''introuvable''. |
Plomber des gaines
Dans un batiment de plusieurs étage, il est indispensable de savoir ou on est par rapport aux niveaux sup et Inf. en particulier quand on fait des gaines de plomberie
Une bonne habitude, c'est de faire une Xref_global ou sont placé tous les niveaux (une Xref d'Xref quoi). Généralement le point 0,0 est conservé pendant toute la vie d'un projet. ce qui fait que les mise à jour conservera les position relatives.
L'idée, c'est se placer tous les niveaux décalé en Y suivant un pas qui tombe "rond" (50 100 ou 500m suivant son ampleur)
Une cage d'ascenseur, le point "zéro" ou tout autre repère garantissant que ce "pas" est respecté. Ils sont ainci virtuellement supperposés à 100m près. Le RDC, 100m au dessus le R+1 ect...
Si je trace une gaine au R+1, il suffit de la copier 100m plus bas pour voir son impact au RDC, 100m plus haut pour l'avoir au R+2... On peut aussi utiliser la commande sans rien copier, juste pour jeter un oeuil...
J'ai même fait un petit lisp inspiré de vue pavée de (gile) qui recopie la sélection suivant un pas à indiquer une fois pour toute et qui place la vue sur le niveau de destination par exemple, pour reprendre l'exemple de la trémie, je sélectionne le bloc ou les éléments je tape 2 (au pavé numérique c'est la flèche du bas) puis espace, la trémie est copiée et la vue au même emplacement mais au RDC.
SI on à pas de sélection, il faut valider 2 fois
Héritage de vue_pavé de (gile) J'ai l'habitude pour la 3D de créer des vues haut droit face en me servant de 1 7 3 et une ou deux pers en 0 et 9 mais c'est optionnel (à nommer vue0, vue1...)
Les touches 2, 4, 8, 6 recopie et déplace vers un pas qui est à définir en faisant 5 Entrée (ou espace) et suivant la direction de la flèche du pavé numérique.
Les métrés
C'est un peu la finalité d'un dessin, quand on a bien fait sa concemption, qu'on l'a bien représenté, il faut la chiffrer. C'est ingrat, rébarbatif, casse gueule... En bon fénéant, je me suis organisé une méthode et quelques outils pour y passer le moins de temps possible |
Organisation de Windows
En entreprise, les "affaires" sont placées dans un
serveur (qu'on appellera P:/ pour public) et organisées suivant
une hiérarchie pré-établie de sous-dossiers. Généralement
ça prend la forme:
P:/ année / type d'affaire/ client/ nom d'affaire
A la suite duquel suivant le type d'affaire,on a un autre ensemble de
dossier.
Voila un zip avec
une arborescence type pour une affaire dans le bâtiment.
Si ce n'est pas le cas, ou une organisation similaire c'est vite le boxon et une bonne source de crise de nerf. La contre partie, c'est que pour ouvrir un dossier on en est déjà 25 clics pour aller le chercher.
Si on rajoute à ça toutes les fois où on va chercher un Xref, où il faut imprimer un pdf, où on va enregistrer une photo ... bref on peut vite passer 20mn par jour à cliquer dans l'explorateur Windows.
La solution c'est le bureau. Pas pour y travailler bien sûr, mais pour créer un répertoire "Affaire" qui sera accessible dans les boîtes de dialogue "Ouvrir" et "Enregistrer" de tous les programmes. Dans ce dossier on va entasser les raccourcis vers toutes les affaires en cours avec des noms faciles à retrouver.
Windows à un mécanisme dans ses boîtes pour que la 1ere
lettre tapée fasse apparaître tous les fichiers ayant cette
1ere lettre; il ne faut pas hésiter. Pour faire ça, il suffi de cliquer dans la zone ou sont les fichiers, puis de taper une lettre au clavier. Le premier fichier ou dossier ou raccourci ayant cette 1ere lettre est alors sélectionné. On peu encore taper sur cette lettre pour passer au 2eme ect...
Je conseillerai également de toujours utiliser l'affichage détaillé. il fait apparaître les colonnes "nom" "type" et "date". C'est souvent utile car si on clique sur un de ces nom de colonne, on trie en ordre croissant ou décroissant suivant les noms, types, ou dates.
Pratique pour voir le dernier fichier modifié.
Le dossier OLD
Quand on a le nez dans le guidon, on a tendance à oublier qu'on
ne bosse pas tout seul sur une île déserte, qu'il nous
arrive d'être malade , ou en rendez-vous ou... en vacances :)
Bref de ne pas être disponible.
Quand quelqu'un d'étranger au dossier à besoin de sortir un truc
vite fait, et qu'il débarque dans votre répertoire de
travail, il faut absolument qu'il s'y retrouve.
Plus que la perte de temps, on risque de diffuser des informations obsolètes.
Je ne vais pas dire qu'il faut bannir les fichiers temporaires, les
"enregistrer sous" avec un indice pour ne pas perdre la version
précédente, au contraire...C'est important de pouvoir
revenir en arrière, et de garder sous le coude des idée
et des esquisses. Mais leur profusion nuit gravement à la lisibilité
du répertoire pour un 'non initié'. Vous même si
vous ré ouvrez le dossier 6 mois ou 1 an après, ça
peu ne pas être évident de s'y retrouver facilement sois même.
C'est pourquoi, le soir venu ou une fois par semaine ou en tous cas,
à la fin de l'affaire, on met tout ce boxon dans ce sous-dossier
OLD.
Comme ça si quelqu'un d'étranger à l'affaire ouvre
le répertoire de travail, les seuls documents présents
sont ceux qui sont d'actualités.
Un autre avantage, c'est pour les sauvegardes. Toutes les boîtes pour qui les dossiers info sont cruciaux ont des mécanismes de sauvegarde automatique des serveurs. Grâce à ce répertoire OLD on peut facilement filtrer tout ce qui est inutile d'archiver dans le programme qui fait cette sauvegarde et économiser ainsi du temps de transfert et de la quantité de stockage.
les Alias
Pour etre efficace on à intérêt à limiter les trajets de la souris. L'interface d'Autocad peut prendre plusieurs formes, on y reviendra, mais quelle que soit l'apparence choisie, cliquer une commande prend du temps. On cherche l'icône, on la clique, il faut revenir chercher le point ou l'accrochage... multiplié par quelques centaines de commandes ça fini vite par compter. C'est la raison pour la quelle les commandes les plus courantes doivent etre entrée au clavier. J'entend déjà les commentaires....
Quoi!! au clavier??? mais il est malade ce type!!
Historiquement parlant, dans la toute
1er interface d'Autocad, c'était la seule manière
de procéder. Pourtant, il faut bien reconnaître que c'est et
de loin le plus rapide grâce aux alias et aux raccourcis clavier. |
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On peu discuter des avantages de l'une ou l'autre technique, mais la
conclusion c'est qu'il faut la main droite sur la souris, et la gauche
sur le clavier...
On va profiter de cette proximité pour taper des alias. Toutes
les commandes d'Autocad peuvent être entrée au clavier
dans la ligne de commande. Mais pour, par exemple, "CORRESPROP"
(copier les propriétés) ça fait un peu long...
Il y a deux mécanismes pour arranger ça. Les ALIAS que
je vais détailler, et les raccourcis clavier un peu plus long
à mettre en oeuvre et un peu capricieux...Le but du jeux étant
de lancer CORRESPROP en tapânt sur un minimum de lettres dans mon cas
avec "i" (voir plus bas) et espace, ou entrée, pour
valider (mais espace est plus facile à attraper:) )
On ne vas pas tout raccourcir, simplement les commandes les plus courantes
:
les primitives (lignes, cercles, polylignes, cotes, texte,..); les transformations
(déplacer, copier, miroir, rotation,..) et quelques autres fonctions
courantes (raccords ajuster/prolonger copier les propriétés...)
Voici quelques alias que j'utilise pour exemple...
n, *POLYLIGN nn, *rectangle b, *cercle j, *TEXTMULT s, *COTLIN ss, *COTCONT sd, *LREPERERAP sx, *COTALI q, *copier w, *deplacer t, *rotation y, *miroir r, *raccord p, *décaler g, *ajuster f, *prolonge e, *étirer i, *CORRESPROP |
Polyligne |
Primitives Transformations Autres |
Ne cherchez pas de logique dans l'attribution des lettres, c'est Ma salade faite d'habitudes et de moyen mnémotechnique de regroupement par proximité... Ils sont presque tous composés d'une ou 2 lettre (il manque "L" pour ligne et "eh" pour échelle qui sont par défaut dans le fichier). Un petit coté jeux vidéo, elles sont souvent du coté gauche (déplacement zqsd dans les jeux).
on tappe le racourci ds la ligne de commande, et on valide avec espace (on peut préparer des copier coller de commandes pour faire des macro très simples voir un exemple ici)
Dans le fichier texte. Vous pouvez modifier (ou pas) les lettres de lancement. Sauvez ce fichier pour pouvoir le réutiliser (un bon truc c'est de se l'envoyer par mail sur un compte hotmail ou gmail vous l'aurez toujours sous la main) ou faites un site sur free ;-)
Pour le rentrer dans Autocad, c'est hyper simple l'appel dans le menu de "Outils/Personnaliser/Paramètre de programme (acad.pgp)" ouvre acad.pgp. En effet on va copier ces lignes à la fin de ce fichier texte, redémarrer Autocad, ou tapez REINIT (commande) puis cocher "fichier pgp" dans la boite de dialogue, et c'est fini !!
Si vous avez pris soin de noter quelque part vos alias vous re configurez
un poste en moins d'une minute, et c'est parfois bien utile.
Si vous épluchez un peu ce long fichier vous découvrirez
des centaines de raccourcis + ou moins pertinent. Ce qu'il faut retenir,
c'est de les derniers écrasent les premiers (si à la ligne
10 un "i" renvoie à une commande quelconque, c'est
bien CORRESPROP qui sera pris en compte car il est plus bas...
Pour ré initialiser un poste sur lequel vous avez modifié les alias, il suffit de ré ouvrir acad.pgp et d'effacer vos alias. C'est un des gros avantage de cette méthode, c'est simple à mettre en oeuvre et simple à enlever et l'efficacité est là. De plus les alias restent valable quelque soit la version ou sont facile à adapter (pour ceux que le ruban enrage...) Une fois le fichier sauver il faut le recharger dans autocad pour que ce soit pris en compte |
Ces 20 petits alias maîtrisé, j'en rajoute quelques
uns qui simplifie le nom de lisp un peu trop longs
Dans les fait, je vous met pas tout, j'ai des tats de raccorcis dans tous les sens, j'ai même un lisp Alias.lsp avec d'autre raccourcis, comme RRR pour remetre à zéro le rayon de la commande Raccord, je charge également une caisse de lisp à l'ouverture d'autocad... mais on va pas vous noyer tout de suite...
pa, *PurgeArchiCad | nettoyeur de hachure solide dans les blocs Archicad |
Rb, *régle_bloc | Pour passer tous les éléments des blocs dans le calque 0 entre autre |
Customisation
Je ne rentrerais pas dans la polémique ruban ou pas.... juste que je n'aime pas ce machin point.
Donc au rythme éffréné d'une mise à jour par an, Autodesk nous propose bien un utilitaire de migration des profils, mais d'une part il n'est pas parfait, et d'autre part, il m'arrive de bosser loin de mes ordi préférés. Je vais regrouper dans cette rubrique qqs élément pour un peu plus de personalisation que les seuls Alias (qui sont la base)