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Régles de modélisations 2D

 

 

Bocs et Lisp VSOM

En préambule,  une petite bibliothèque d’éléments courants et je détaillerai une autre fois comment en faire d'autres compatibles avec les lisps.
Le modèle est fonctionnel pour une unité de dessin en mètres, les débits en m3/h, les vitesses en m/s, les diamètres et longueurs en mètres, les blocs de calculs ''BOUCHE'' ''JONCTION'' et ''DIFFUSEUR'' doivent être présents dans le dessin. Le lisp VSOM7.2.lsp doit être chargé dans le dessin.
Dans cette bibilothèque, on aura besoin au minimum de piocher les 3 blocs : DIFFUSEUR, BOUCHE et JONCTION.

Pour retranscrire dans le dessin  l’implantation des éléments de ventil et leurs débits finalisés par la solution 'de l'ingénieur', on va utiliser le bloc DIFFUSEUR.
Le bloc DIFFUSEUR comporte les deux attributs : DEBIT et TYPE.
le TYPE peut être intéressant pour les métrés, on peut aussi le laisser vide. Mais le DEBIT doit être un réel donc pas de ‘’500 m3/h’’.............. (note pour plus tard virer le test sur le nom du bloc pour tester juste si DEBIT existe ce sera plus souple *)

Dans le bloc DIFFUSEUR j'ai planqué une représentation schématique des 4 types principaux de diffuseurs dans des états de visibilité , et une spline qui fait la blague pour symboliser le souple avant le réseau rigide. A l’extrémité de cette spline, un attribut ‘’pos’’, purement virtuel sert à matérialiser la position du réseau à créer.

On part donc d’un fond de plan archi en Xref avec un calque de diffuseurs déjà implantés et dont le débit est inscrit dans des blocs, tous les blocs de calcul sont présents dans le dessin. VSOM est chargé.

 

Un exemple d'utilisation

Voici un fichier d'exmple (chargez également l'Xref rdc dans le même répertoire). Ce projet n'est donné qu'à titre d'exemple. Toute ressemblance avec un projet en cours ou ayant existé serait pure coïncidence et parfaitement fortuit.
Il y est question de l'implantation d'une double flux dans le plénum d'une extension de bâtiment.

Création du réseau de calcul

On va créer un calque de calcul. Ce calque doit être courant. il n’est pas destiné à être imprimé, il va contenir les blocs modélisant les nœuds


La routine ‘’DTB’’ permet de placer des blocs ‘’BOUCHE’’ sur les points de raccordement des diffuseurs en récupérant la valeur du DEBIT.
( * VSom7.2 J'ai modifié le code pour que la seule présence d'un attribut "DEBIT", valide le bloc. Il y a une limite, ce nouveau bloc ne doit pas avoir de paramètre de visibilité, que je reserve à "DIFFUSEUR" à moins d'y rajouter l'attribut vituel "pos" qui valide le point d'insertion de la fonction.)

On trace un réseau dans ce même calque de calcul. reliant les BOUCHE à la source
Cet arbre doit être composé de polylignes orientées vers la source. A chaque jonction de deux branches, il faut implanter un point (la routine AV/DV et REVERSEPOLY de (gile) y sont super pratique). Pour mieux m’y retrouver dans le sens des poly, j’utilise un motif avec une flèche.

Le tracé du réseau étant ficelé, on lance ‘’DTJ’’. Cette moulinette va placer des blocs ‘’JONCTION’’ aux extrémités des poly du réseaux (attention DTJ efface toutes les jonctions du calque pour éviter les doublons).

On peut se passer de ces deux moulinettes ou modifier plus artisanalement le réseau en ajoutant des branches. La règle est de poser au moins un bloc ‘’BOUCHE’’ au départ de la poly, arriver sur un point libre au niveau de la poly suivante. Le dernier point d'une poly comporte toujours une ‘’JONCTION’’, la dernière étant l’appareil ou la chute de la gaine d’étage.

L'arbre déssiné et bien orienté, on lance VSOM, et si tout se passe bien, on récupère à la ligne de commande un récap des longueurs de tuyaux par diamètre. Une polyligne dont la largeur correspond au diamètre de la gaine est tracée dans un calque ‘’ --CVC-tmp ‘’. Ce calque n’est pas destiné à être gardé tel quel car c’est super moche, mais on peut facilement le sauver vers un autre calque pour ne pas perdre une éventuelle mise en forme car ‘’ --CVC-tmp ‘’ est réinitialisé à chaque lancement de VSOM (si on veux effacer rapidement cette polyligne on relance la commande et on fait échap soit : "espace échap").

Pour plus de lisibilité, passer ‘’ FILLMODE’’ à 0 ça ne laissera apparaitre que les contours de la polyligne (mais supprime la visibilité des hachures. Une piste en suivant les traces du grand Lee Mac avec un lisp pour récupérer les poly des contours car en l'état c'est pas top).

Nota: j'ai repéré qqs trucs qui faisaient planter la routine, en cas de sortie brutale, surveillez si des cercles de couleurs n'apparaissent pas dans le calque --Epures-- avec un message en ligne de commande.

J'arrive à ce résultat.

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Un peu de mise en forme


Pour la mise en forme, généralement je fais une copie des poly fléchées du calque de calcul vers le calque des diffuseurs en inversant ou pas, le sens des poly pour que les flèches soient représentatives du sens de parcours. (se servir de SSM (lisp) et de COPIERVERSCALQUE)

Les attributs diamètres des blocs BOUCHE et JONCTION, sont les diamètres de sortie. Il faut les repositionner suivant la disposition du réseau.

je change le calque des poly épaisses dans le calque des bouches (ou un calque dédié au réseau et qui s'imprime) .

La fonction ‘’rtt’’ permet de faire une commande RACCORD avec directement pour rayon la largeur de la poly sélectionnée en 1er, ça simule vite fait des coudes 1D, on ajuste les nœuds pour donner plus l’aspect d’un ‘’T’’ et ça fait la blague…

Le dwg ici...

 

 

 

 

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